#Miff Mole
Explore tagged Tumblr posts
b1lliesb1ues · 11 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
📸 Art Kane, 1958
‘I have no idea how they decided to stand where they did, and with whom, but they did. Slowly they formed themselves into a big group … and I saw they couldn’t have got themselves into a better position’ – Art Kane
47 notes · View notes
madamlaydebug · 1 year ago
Text
Tumblr media
{A Great Day in Harlem}
Red Allen
Buster Bailey
Count Basie
Emmett Berry
Art Blakey
Lawrence Brown
Scoville Browne
Buck Clayton
Bill Crump[2]
Vic Dickenson
Roy Eldridge
Art Farmer
Bud Freeman
Dizzy Gillespie
Tyree Glenn
Benny Golson*
Sonny Greer
Johnny Griffin
Gigi Gryce
Coleman Hawkins
J.C. Heard
Jay C. Higginbotham
Milt Hinton
Chubby Jackson
Hilton Jefferson
Osie Johnson
Hank Jones
Jo Jones
Jimmy Jones
Taft Jordan
Max Kaminsky
Gene Krupa
Eddie Locke
Marian McPartland*
Charles Mingus
Miff Mole
Thelonious Monk
Gerry Mulligan
Oscar Pettiford
Rudy Powell
Luckey Roberts
Sonny Rollins*
Jimmy Rushing
Pee Wee Russell
Sahib Shihab
Horace Silver*
Zutty Singleton
Stuff Smith
Rex Stewart
Maxine Sullivan
Joe Thomas
Wilbur Ware
Dickie Wells
George Wettling
Ernie Wilkins
Mary Lou Williams
Lester Young
Tumblr media Tumblr media
12 notes · View notes
joanofarc · 10 months ago
Text
listening to a swing artist named miff mole
4 notes · View notes
singeratlarge · 2 years ago
Text
Tumblr media
Tumblr media
Tumblr media Tumblr media
Tumblr media
HAPPY BIRTHDAY to Heath Bashnick, Henry Cowell, Mercer Ellington, Jimmy Fortune, the 1818 publication of Mary Shelley’s FRANKENSTEIN, Nina Hagen, Shemp Howard, Terrence Howard, Jimmy Iovine, Rami Jaffee, Anissa Jones, Johnny Knoxville, Nancy Kovack, George Kooymans (Golden Earring), Lisa Loeb, Bobby Lyle, Graham Lyle, Benji Madden, Harvey Mandel, BeachBoystalk Matt, Bobby McFerrin, Steve Mendez, Miff Mole, Angelique Pettyjohn, Astor Piazzolla, Pink Floyd’s 1967 “Arnold Layne” single, Ric Rothwell (Mindbenders), Jan Schelhaas (Caravan), Mark Stein (Vanilla Fudge), Andy Sturmer (Jellyfish), Verdi’s 1851 opera RIGOLETTO, William Vincent Wallace, Adam Wakeman, Raoul Walsh, Bruce Watson (Big Country), Lawrence Welk, Fred Wikkeling, Anton Yelchin, and the under-celebrated actor, producer, and singer-songwriter Paul Korda. He was born in Singapore into a creative family of accomplished entertainers, singers, songwriters, and accomplished musicians. From there his family moved around the world but Paul was schooled in England. Around age 15, stoking his chops as a guitarist-pianist, he intersected professionally with P.P. Arnold, Sandy Denny, Jimi Hendrix, Elton John, The Small Faces, and Cat Stevens—who became one of Paul’s best friends. Paul’s acting career broke out in 1968 when he was cast in the London musical production of HAIR. Concurrently he collaborated on a series of singles with my friend, singer-songwriter Tim a.k.a. Chris Andrews. Here’s an Andrews/Korda track featuring Paul: https://www.youtube.com/watch?v=iPTviPx3d8Y
Around 1970 Paul became an ecological activist and started to release solo albums. He continued to produce and write for numerous artists, most prominently with Roger Daltrey and Frankie Valli. Years later he returned to acting by appearing in PIRATES OF THE CARIBBEAN and SPINAL TAP while becoming an activist for low-income inner-city youth. By all accounts, Paul had constant brainstorms and bright projects in the works, from musicals to non-profits. He might not be a household name, but his music has been heard around the world. Sadly he passed away in 2020. Meanwhile, HB PK and thank you for sharing your huge creative spark.
#paulkorda #catstevens #hair #timandrews #chrisandrews #parlophone #rogerdaltrey #frankievalli #spinaltap #piratesofthecaribbean #activist #birthday #angelface
3 notes · View notes
jpbjazz · 11 days ago
Text
LÉGENDES DU JAZZ
EDDIE CONDON, PIONNIER DU JAZZ CLASSIQUE
“The beboppers play flatted fifths: we drink them.”
- Eddie Condon
Né le 15 novembre 1905 à Goodland, en Indiana, Albert Edwin Condon était le fils de John Condon et Margaret McGraw. Condon a grandi à Momence et à Chicago Heights, dans les Illinois, et avait fréquenté le St. Agnes et le Bloom High School. Condon avait commencé à jouer de l’ukulélé avant passer au banjo et à la guitare. Il était devenu musicien professionnel en 1921. Condon avait quinze ans lorsqu’il avait obtenu sa carte de l’Union des musiciens, à Waterloo, en Iowa.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Condon avait amorcé sa carrière professionnelle à l’âge de dix-sept ans comme banjoïste avec les Jazz Bandits d’Hollis Peavey. Il avait joué par la suite avec le groupe de Bill Engleman à Cedar Rapids (septembre 1921), ainsi qu’avec Bob Pacelli, Charlie Pearce, Charles “Murphy” Podolsky, Irving Rothschild, Roy Peach, Louis Panico et Jack Gardner.
Membre de la célèbre Austin High Gang, Condon avait travaillé à Chicago durant la majeure partie des années 1920. Au cours de cette période, Condon avait également joué avec de grands noms du jazz comme Bix Beiderbecke, Jack Teagarden et Frank Teschemacher. En 1925, Condon avait co-fondé avec Red McKenzie le groupe Chicago Rhythm Kings avec qui il avait enregistré quelques grands succès. Il avait aussi enregistré avec les Jungle Kings et Frank Teschemacher avant de s’installer à New York en mai 1928.
Durant son séjour à Chicago, Condon et d’autres musiciens blancs s’étaient rendus au Lincoln Gardens pour assister à un concert du groupe de King Oliver. Condon et ses amis avaient plus tard commencé à fréquenter le Sunset Café où ils avaient pu voir le Hot Five de Louis Armstrong.
En décembre 1927, Condon et la Austin High Gang avaient fait leurs débuts sur disque sous le nom des McKenzie-Condon Chicagoans. Ironiquement, le groupe était dirigé par le chanteur Red McKenzie qui n’était même pas présent sur les enregistrements. Plusieurs pièces avaient été enregistrées au cours de la session, dont “Sugar”, “China Boy”, “Nobody’s Sweetheart” et  “Liza.” Ce genre de musique, qui mettait en vedette d’excellents solistes et était caractérisé par une grande spontanéité, avait plus tard été appelé ‘’jazz de Chicago.’’
De 1928 à 1933, Condon avait publié une série de disques sous son nom avec des sommités du jazz de l’époque comme Jack Teagarden, Bud Freeman, Coleman Hawkins, Pee Wee Russell, Glenn Miller, Red McKenzie, Miff Mole, Louis Armstrong, Fats Waller, Billy Banks, Henry “Red” Allen, Jack Bland et Red Nichols. Avec les Blue Blowers de Red McKenzie en décembre 1933, Condon avait également joué de la guitare rythmique pour la première fois de sa carrière.
Le 28 juillet 1928, Condon avait enregistré deux pièces pour les disques Okeh, mais elles avaient été uniquement publiées en Angleterre. Le 30 octobre de la même année, les disques Okeh avaient publié une session intitulée "Eddie Condon and his Footwarmers", qui mettait en vedette le tromboniste Jack Teagarden. Une autre session datée du 8 février 1929 avait été publiée sous le titre de "Eddie Hot Shots" par les disques Victor. En 1932, Condon avait également enregistré plusieurs sessions avec les Rhythmakers à New York. L’année suivante,  Condon avait participé à deux autres sessions pour les disques Brunswick qui avaient donné lieu à la publication de six enregistrements, dont seulement deux avaient été publiés aux États-Unis.
C’est après s’être installé à New York en 1929 que Condon avait abandonné le banjo en faveur de la guitare. Lorsque vers 1930, Joe Marsala avait fondé son propre groupe, Condon avait été engagé comme guitariste.
À New York, Condon avait régulièrement participé à des sessions pour les compagnies de disques, ce qui lui avait permis de jouer avec des artistes qu’il avait emmené lui-même aux studios d’enregistrement, comme Louis Armstrong et Fats Waller. Condon avait aussi innové en organisant des sessions interraciales - ce qui était plutôt rare à l’époque - avec des musiciens comme Waller, Armstrong et Henry ''Red'' Allen.
Après s’être produit avec les Five Pennies de Red Nichols et les Mound City Blue Blowers de Red McKenzie, Condon avait amorcé en 1938 une longue collaboration avec les disques Commodore de Milt Gabler. Il avait aussi enregistré pour les disques Decca. La session du 17 janvier 1938 avait été particulièrement mémorable et mettait en vedette de grosses pointures comme le cornettiste Bobby Hackett, le tromboniste George Brunies, le clarinettiste Pee Wee Russell, le saxophoniste Bud Freeman, le pianiste Jess Stacy, le contrebassiste Artie Shapiro et le batteur George Wettling. C’est au cours de cette session qu’avaient été enregistrés de grands succès comme  “Love Is Just Around The Corner”, “Ja Da” et “Carnegie Jump.’’
Mais contrairement à la plupart de ses contemporains, Condon n’avait pas passé les années 1930 à travailler avec des big bands. Condon avait traversé la Grande Dépression et le début de l’ère swing en se produisant avec de petits groupes. En 1935, il avait aussi fait partie de la revue de Mike Reilly et Eddie Farley qui avait fait connaître le grand succès “The Music Goes Round And Round”. En 1936, Condon avait joué comme accompagnateur pour de petits groupes dirigés par Bud Freeman, Bunny Berigan, Putney Dandridge, Tempo King and his Kings Of Tempo, Dick Porter et Sharkey Bonano. En 1936-1937, Condon avait également co-dirigé un groupe avec le clarinettiste Joe Marsalis.
À partir de la fin des années 1930, Condon était devenu un assidu du Nick’s, un club de jazz de Greenwich Village. La version sophistiquée de la musique de Dixieland que Condon avait créé à cet endroit avait éventuellement été qualifiée de "Nicksieland". Condon avait toujours détesté que sa musique soit appelée Dixieland. Il n’avait d’ailleurs jamais utilisé le terme lui-même et avait exposé son point de vue sur la question dans sa première autobiographie appelée "We Called it Music" (1948). À l’époque, la liste des collaborateurs réguliers de Condon comprenait des musiciens comme Wild Bill Davison, Bobby Hackett, George Brunies, Edmond Hall et Pee Wee Russell. En 1939, Condon avait également fait une apparition avec le groupe de Hackett dans le court-métrage On the Air de Lloyd French.
Les musiciens qui avaient joué et enregistré avec Condon durant les années 1938 à 1944 étaient souvent de haut calibre et comprenaient de grands noms du jazz de l’époque comme les cornettistes et trompettistes Bobby Hackett, Max Kaminsky, Marty Marsala, Billy Butterfield et Wild Bill Davison, les trombonistes George Brunies, Jack Teagarden, Vernon Brown, Lou McGarity, Benny Morton et Brad Gowans, les clarinettistes Pee Wee Russell et Edmond Hall, le saxophoniste ténor Bud Freeman, le saxophoniste baryton Ernie Caceres, les pianistes Jess Stacy, Dave Bowman, Joe Bushkin, Joe Sullivan et Gene Schroeder, les contrebassistes Artie Shapiro, Bob Haggart et Bob Casey, les batteurs George Wettling, Dave Tough, Zutty Singleton et Sid Catlett, et la chanteuse Lee Wiley. Fats Waller avait également joué comme musicien invit�� sur certaines pièces.
En 1944-1945, Condon avait fait plusieurs enregistrements à la radio sous le titre des Eddie Condon's Jazz Concerts. Enregistrés à Town Hall, les émissions d’une durée d’une demi-heure avaient été diffusées à travers les États-Unis avant d’être réédités sur une série de dix CD par les disques Jazzology. Ces enregistrements étaient remarquables non seulement en raison de la qualité constante de la musique, mais par la façon dont Condon avait réussi à mettre en valeur les membres de ses groupes. Un enregistrement typique de cette période avait été réalisé le 16 décembre 1944 et avait permis de mettre en vedette sept joueurs de cuivres différents (dont Bobby Hackett, Max Kaminsky et Dick Cary à la trompette, Teagarden au trombone, Pee Wee Russell à la clarinette et Sidney Bechet au saxophone soprano), le pianiste Gene Schroeder et la chanteuse Lee Wiley. En plus des collaborateurs réguliers de Condon,  la session comprenait également des artistes invités comme les trompettistes Oram ‘’Hot Lips’’ Page, Wingy Manone et Yank Lawson, les trombonistes Miff Mole et Tommy Dorsey, les clarinettistes Jimmy Dorsey et Woody Herman, ainsi que les pianistes James P. Johnson et Cliff Jackson.
DERNIERES ANNÉES
En 1945, Pete Pesci, le gérant du Julius's Bar, était allé voir Condon et lui avait proposé de fonder son propre club de jazz à New York. Simplement baptisé le Eddie Condon's, le club avait d’abord été situé sur la 3e rue Ouest de Greenwich Village, avant de déménager ses pénates sur la 52e rue près de la 6e avenue (sur l’emplacement actuel des bureaux de CBS). puis sur le côté sud de la 56e rue Est, à l’est de la 2e avenue. Condon avait toutes les qualifications requises pour diriger son propre club: il était sociable et avait plusieurs amis musiciens qui étaient tout disposés à lui offrir leur aide.
Le club avait fermé ses portes en 1967. En 1948-49, Condon avait également animé sa propre émission de télévision intitulée The Eddie Condon Floor Show. Même si des extraits des performances réalisées dans le cadre de l’émission avaient été réédités sur disque, on n’a retrouvé à ce jour aucune bande vidéo permettant de documenter le déroulement de l’émission.
Dans les années 1950, Condon avait enregistré une série d’albums classiques pour les disques Columbia. Parmi les musiciens qui avaient participé à ces albums, on remarquait Wild Bill Davison et Bobby Hackett au cornet, Billy Butterfield à la trompette, Edmond Hall, Peanuts Hucko, Pee Wee Russell et Bob Wilber à la clarinette, Cutty Cutshall, Lou McGarity et George Brunies au trombone, Bud Freeman au saqxophone ténor, Gene Schroeder, Dick Cary et Ralph Sutton au piano, Bob Casey, Walter Page, Jack Lesberg et Al Hall à la contrebasse, et George Wettling, Buzzy Drootin et Cliff Leeman à la batterie. Au cours de cette période, Condon avait également fait des apparitions dans des festivals de jazz comme celui de Newport. Avaient accompagné Condon sur scène de grands noms du jazz comme le cornettiste Rex Stewart, les clarinettistes Peanuts Hucko et Bob Wilber, le tromboniste Cutty Cutshall, le pianiste Ralph Sutton, le contrebassiste Walter Page et le batteur Cliff Leeman.
En 1957, Condon avait fait une tournée en Grande-Bretagne avec un groupe comprenant Wild Bill Davison, Cutty Cutshall, Gene Schroeder et George Wettling. Condon avait fait une dernière tournée en 1964, lorsqu’il avait mené son groupe en Australie et au Japon. L’alignement du groupe de Condon à cette époque incluait Buck Clayton à la trompette, Pee Wee Russell à la clarinette, Vic Dickenson au trombone, Bud Freeman au saxophone ténor, Dick Cary au piano et au cor alto, Jack Lesberg à la contrebasse, Cliff Leeman à la batterie et Jimmy Rushing au chant.
En 1948, Condon avait publié une première autobiographie intitulée We Called It Music. La seconde autobiographie de Condon, publiée sous le titre de Treasury of Jazz en 1956, était en réalité une collection d’articles publiés par Condon et Richard Gehman.
Un des derniers collaborateurs de Condon, le clarinettiste Kenny Davern, avait décrit les sessions du guitariste de la façon suivante: "It was always a thrill to get a call from Eddie and with a gig involved even more so. I remember eating beforehand with Bernie (Previn, trumpet) and Lou (McGarity, trombone) and everyone being in good spirits. There was a buzz on, we'd all had a taste and there was a great feel to the music."
Même s’il avait été contraint de ralentir ses activités en raison de l’âge et parce que plusieurs de ses solistes avaient lancé leur propre carrière solo, Condon avait continué de faire des tournées et de faire des apparitions dans les festivals de jazz jusqu’en 1971. Même si Condon avait cessé complètement d’enregistrer de 1968 à 1971, il avait gravé un dernier album en 1972 sous le titre de Live At The New School. Dans le cadre de cet album enregistré avec Wild Bill Davison à la trompette, Kenny Davern au saxophone soprano, Dick Wellstood au piano et Gene Krupa à la batterie, Condon avait interprété plusieurs de ses chansons favorites.
Condon avait fait sa dernière apparition publique à la  New School for Social Research de New York en avril 1973. Dans le cadre de cette performance, Condon avait interprété quelques-uns de ses grands succès. Le concert avait éventuellement été publié par Chiaroscuro Records.
Durant la majeure partie de sa carrière, Condon avait joué et enregistré en utilisant une guitare à quatre cordes. Condon n’avait pratiquement jamais joué en solo, que ce soit sur scène ou dans le cadre d’enregistrements.
Eddie Condon est mort le 4 août 1973 au Mount Sinai Hospital de New York à la suite d’une maladie des os. Il était âgé de soixante-sept ans. Ses funérailles ont été célébrées à la Frank E. Campbell Chapel de Manhattan. Ont survécu à Condon son épouse Phyllis Smith (qu’il avait épousée en 1942) et ses deux filles Maggie et Liza. Condon avait également eu un fils appelé Donald, mais il était décédé au moment de sa mort.
Même si Condon n’avait pratiquement plus chanté après les années 1920 et n’avait écrit que quelques chansons et arrangements, il est toujours considéré comme un plus importants artistes du jazz classique. Surtout reconnu pour ses talents d’organisateur, de chorégraphe, de maître de cérémonie et de publiciste, Condon était aussi un excellent guitariste rythmique qui savait inspirer ses musiciens. Grand raconteur, Condon faisait également les délices de la presse avec ses anecdotes souvent savoureuses. Mais une des plus importantes réalisations de Condon avait été d’avoir contribué à la fondation et à la structuration du Dixieland, même s’il n’avait jamais apprécié ce nom. Ironiquement, les groupes de Condon n’avaient jamais utilisé de banjo même si son premier instrument était le banjo.
Même si Condon avait contribué à la renaissance du Dixieland dans les années 1940 et 1950, il n’avait jamais ressenti le besoin de moderniser sa musique. Il avait déclaré: “The beboppers play flatted fifths: we drink them.”
©- 2025, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Eddie Condon.’’ Wikipedia, 2024.
‘’Eddie Condon.’’ All About Jazz, 2024.
YANOW, Scott. ‘’Eddie Condon: Profiles in Jazz.’’ The Syncopated Times, 24 janvier 2019.
1 note · View note
madamelaydebug · 2 months ago
Text
Tumblr media
{A Great Day in Harlem}
Red Allen
Buster Bailey
Count Basie
Emmett Berry
Art Blakey
Lawrence Brown
Scoville Browne
Buck Clayton
Bill Crump[2]
Vic Dickenson
Roy Eldridge
Art Farmer
Bud Freeman
Dizzy Gillespie
Tyree Glenn
Benny Golson*
Sonny Greer
Johnny Griffin
Gigi Gryce
Coleman Hawkins
J.C. Heard
Jay C. Higginbotham
Milt Hinton
Chubby Jackson
Hilton Jefferson
Osie Johnson
Hank Jones
Jo Jones
Jimmy Jones
Taft Jordan
Max Kaminsky
Gene Krupa
Eddie Locke
Marian McPartland*
Charles Mingus
Miff Mole
Thelonious Monk
Gerry Mulligan
Oscar Pettiford
Rudy Powell
Luckey Roberts
Sonny Rollins*
Jimmy Rushing
Pee Wee Russell
Sahib Shihab
Horace Silver*
Zutty Singleton
Stuff Smith
Rex Stewart
Maxine Sullivan
Joe Thomas
Wilbur Ware
Dickie Wells
George Wettling
Ernie Wilkins
Mary Lou Williams
Lester Young
0 notes
lboogie1906 · 6 months ago
Text
Tumblr media
Victor Dickenson (August 6, 1906 – November 16, 1984) was a jazz trombonist. His career began in the 1920s and continued through musical partnerships with Count Basie, Sidney Bechet, and Earl Hines.
He studied organ and changed to performing trombone with local bands. He made his recording debut as a vocalist with Luis Russell’s band. He joined Blanche Calloway’s orchestra. He led his groups both on the east and west coast.
He was a session man. He appeared on the television program The Sound of Jazz. He recorded as a sideman with Jimmy Rushing, Coleman Hawkins, Pee Wee Russell, Benny Carter, Lester Young, Count Basie, and Sidney Bechet. He recorded The Vic Dickenson Showcase for Vanguard with Ed Hall on clarinet and Ruby Braff on trumpet. Sydney Bechet made him come to France and play record at the Brussels exposal.
He was a member of “The World’s Greatest Jazz Band”, the house band at The Roosevelt Grill. He performed at the same venue in a smaller group that featured him alongside trumpeter Bobby Hackett.
He is in Art Kane’s photograph, A Great Day in Harlem, which includes trombonist Miff Mole.
He was a laconic man who often liked to be alone between sets. During his long association with bands at Eddie Condon’s, he would retire to a single chair that sat in a small alcove outside the men’s room, instead of gathering with fellow musicians in the band room. When men mistook him for the men’s room attendant and offered him money, he took it. #africanhistory365 #africanexcellence
0 notes
mosaicrecords · 4 years ago
Photo
Tumblr media
Miff Mole: Miffology
Now here’s a legendary figure and an important contributor to the earliest jazz recordings, who yet continued to make some of the best jazz heard on record, especially with Red Nichols’ Five Pennies. His name is Miff Mole and his trombone style was a major influence on many throughout his career, as JazzWax proves with some prime examples.
-Scott Wenzel
Read, listen and watch from JazzWax��� Follow: Mosaic Records Facebook Tumblr Twitter
8 notes · View notes
iamgabrisan · 4 years ago
Photo
Tumblr media
Repost @gashfordg A Great Day in Harlem or Harlem 1958 (top photo) is a black-and-white photograph of 57 jazz musicians in Harlem, New York City. The picture was taken by freelance photographer Art Kane for Esquire magazine on August 12, 1958.[1] The musicians were gathered at 17 East 126th Street between Fifth and Madison Avenue. Esquire published the photo in its January 1959 issue. Musicians in the photograph Red Allen Buster Bailey Count Basie Emmett Berry Art Blakey Lawrence Brown Scoville Browne Buck Clayton Bill Crump[2] Vic Dickenson Roy Eldridge Art Farmer Bud Freeman Dizzy Gillespie Tyree Glenn Benny Golson Sonny Greer Johnny Griffin Gigi Gryce Coleman Hawkins J.C. Heard Jay C. Higginbotham Milt Hinton Chubby Jackson Hilton Jefferson Osie Johnson Hank Jones Jo Jones Jimmy Jones Taft Jordan Max Kaminsky Gene Krupa Eddie Locke Marian McPartland Charles Mingus Miff Mole Thelonious Monk Gerry Mulligan Oscar Pettiford Rudy Powell Luckey Roberts Sonny Rollins Jimmy Rushing Pee Wee Russell Sahib Shihab Horace Silver Zutty Singleton Stuff Smith Rex Stewart Maxine Sullivan Joe Thomas Wilbur Ware Dickie Wells George Wettling Ernie Wilkins Mary Lou Williams Lester Young Children in the picture Count Basie, having grown tired of standing, sat down on the curb, and gradually a dozen children followed. Most of the children were neighborhood residents, although the second child from the right, Taft Jordan, Jr., had accompanied his father, Taft Jordan, to the photo session. The photography crew was already having trouble directing the adults, and the presence of the children added to the chaos: one of the children appearing in the window kept yelling at a sibling on the curb; another kept playing with Basie's hat; Taft Jordan, Jr. had been scuffling with the older child seated to his left.[3] Ultimately, Art Kane realized that any further attempt to organize the proceedings would be futile, and he decided to incorporate the subjects' actions. #jazz #jazzmusic #jazzhistory #Vintage #Photography https://www.instagram.com/p/CHuVTRRD1RQ/?igshid=voz49m0tzon6
3 notes · View notes
jefferyryanlong · 5 years ago
Photo
Tumblr media
FEEL with DJ Jeff Long - May 20, 2020
when you build your house then call me home
Tram #7 to Heaven - Jens Lekman Sax Jive - Leribe Gator Tail - Lee Dorsey Kansas City / Hey Hey Hey - Little Richard Mean Old World - Little Walter Honolulu Blues - Miff Mole’s Molers Waikiki - George Helm Sandbar - Little Wings He‘eia - Gabby Pahinui Jah Jah Ah Natty Dread - Lee “Scratch” Perry and the Upsetters Please, Please, Please - James Brown Way Back in the 1960′s - The Incredible String Band O True Believers - James Blackshaw Galileo - Indigo Girls Sara - Fleetwood Mac Revelator - Gillian Welch  I’ll Fly Away - The Trumpeteers  The Big Country - Talking Heads Jennie Jenkins - Estil and Orna Ball The Werewolf - Michael Hurley Joanne - Michael Nesmith  Byth Yn Mynd Yn Ol - Galwad Y Mynydd Morning Colors - Linda Perhacs Tears Fall - Linus Strangers - The Kinks Glad and Sorry - The Faces Lady Midnight - Leonard Cohen Continuum - Gabriela Montero The Telephone Lines Got Crossed - Jamee Warrenfeltz Blues for Pablo - Miles Davis Once Upon a Dream - Laika Stardust - Django Reinhardt The Days Before Fiction - Mice Parade One Step at a Time - Husker Du Utopia #1 - Amon Duul A Death - Jakubazookas Take 5, D - The Minutemen Cohesion - The Minutemen V. - Mimi and Richard Farina The Bold Marauder - Mimi And Richard Farina Knife - Grizzly Bear
KTUH FM Honolulu - 90.1 FM Honolulu, 91.1 FM North Shore, ktuh.org
2 notes · View notes
b1lliesb1ues · 11 months ago
Text
Tumblr media
📸 Art Kane
Front row, from left: Art Blakey, Marian McPartland, Miff Mole, Gene Krupa, Jimmy Rushing, Roy Eldridge, Max Kaminsky, Hilton Jefferson. Laughing on the right, up the stairs, is Dizzy Gillespie.
‘It would be sort of a graduation photo or class picture of all the jazz musicians. After I thought about it some more I decided they should get together in Harlem. After all, that’s where jazz started when it came to New York’
- Art Kane
5 notes · View notes
madamlaydebug · 2 years ago
Text
Tumblr media
{A Great Day in Harlem}
Red Allen
Buster Bailey
Count Basie
Emmett Berry
Art Blakey
Lawrence Brown
Scoville Browne
Buck Clayton
Bill Crump[2]
Vic Dickenson
Roy Eldridge
Art Farmer
Bud Freeman
Dizzy Gillespie
Tyree Glenn
Benny Golson*
Sonny Greer
Johnny Griffin
Gigi Gryce
Coleman Hawkins
J.C. Heard
Jay C. Higginbotham
Milt Hinton
Chubby Jackson
Hilton Jefferson
Osie Johnson
Hank Jones
Jo Jones
Jimmy Jones
Taft Jordan
Max Kaminsky
Gene Krupa
Eddie Locke
Marian McPartland*
Charles Mingus
Miff Mole
Thelonious Monk
Gerry Mulligan
Oscar Pettiford
Rudy Powell
Luckey Roberts
Sonny Rollins*
Jimmy Rushing
Pee Wee Russell
Sahib Shihab
Horace Silver*
Zutty Singleton
Stuff Smith
Rex Stewart
Maxine Sullivan
Joe Thomas
Wilbur Ware
Dickie Wells
George Wettling
Ernie Wilkins
Mary Lou Williams
Lester Young
Tumblr media Tumblr media
16 notes · View notes
gregpoppleton · 7 years ago
Text
20 March 2018 Phantom Dancer - Miff Mole Pioneer 1920s Jazz Trombonist
20 March 2018 Phantom Dancer – Miff Mole Pioneer 1920s Jazz Trombonist
Miff Mole was a trombone player who became famous in the jazz world of the 1920s. And we’ll be hearing radio broadcasts by Miff on this week’s The Phantom Dancer.
The Phantom Dancer is two hours of non-stop swing and jazz mixed from live 1920s – 1960s radio and TV.
Now in its 33rd year, The Phantom Dancer is produced and presented by Greg Poppleton, Australia’s only authentic 1920s-1930s singer.
View On WordPress
0 notes
mickpro · 6 years ago
Text
The Fantastic Names of Jazz: by Hayden Carruth
Zoot Sims, Joshua Redman, Billie Holiday, Pete Fountain, Fate Marable, Ivie Anderson, Meade Lux Lewis, Mezz Mezzrow, Manzie Johnson, Marcus Roberts, Omer Simeon, Miff Mole, Sister Rosetta Tharpe, Freddie Slack, Thelonious Monk, Charlie Teagarden, Max Roach, Paul Celestin, Muggsy Spanier, Boomie Richman, Panama Francis, Abdullah Ibrahim, Piano Red, Champion Jack Dupree, Cow Cow Davenport, Shirley Horn, Cedar Walton, Sweets Edison, Jaki Byard, John Heard, Joy Harjo, Pinetop Smith, Tricky Sam Nanton, Major Holley, Stuff Smith, Bix Beiderbecke, Bunny Berigan, Mr. Cleanhead Vinson, Ruby Braff, Cootie Williams, Cab Calloway, Lockjaw Davis, Chippie Hill, And of course Jelly Roll Morton.
3 notes · View notes
jpbjazz · 7 months ago
Text
LÉGENDES DU JAZZ
RED NICHOLS, POUR UN PENNY DE PLUS
‘’Much of his vast recorded output was released in Europe, where he was regarded by early jazz critics as the equal, if not the superior, of Louis Armstrong and Bix Beiderbecke (...). Nichols' chief fault was an overly stiff, academic approach to jazz trumpet, but he did recognize merit as far as other jazz musicians were concerned and made some wonderful small group recordings.’’
-Michael Brooks
Né le 8 mai 1905 à Ogden, en Utah, Ernest Loring "Red" Nichols était le fils d’un professeur de musique. Enfant prodige, Nichols avait commencé à jouer du cornet à l’âge de cinq ans.
Nichols a joué avec le groupe de son père à partir de l’âge de douze ans. Nichols a été fortement influencé par le Original Dixieland Jazz Band puis par Bix Beiderbecke. Nichols avait entendu Beiderbecke jouer pour la première fois sur un enregistrement de George Olsen intitulé ‘’You’ll Never Get To Heaven With Those Eyes.’’ Nichols a également joué une transcription du solo de Beiderbecke sur le classique “Jazz Me Blues” qui avait été enregistré le 18 février 1924.
Durant une partie de l’année 1920, Nichols avait étudié à la Culver Military Academy, dont il avait été expulsé, à l'instar de son idole Bix Beiderbecke.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Au début des années 1920, Nichols s’est installé dans le Midwest. Le 25 mai 1923, à l’âge de dix-sept ans, Nichols avait fait ses débuts sur disque avec le groupe Syncopating Five d’Howard Lanin. Nichols avait éventuellement pris la direction du groupe qui avait été rebaptisé le Royal Palms Orchestra. Le groupe s’était particulièrement produit sur la Côte est, et plus particulièment à Atlantic City.
Même s’il avait enregistré deux chansons avec Howard Lanin en mai 1923, c’est surtout après avoir été associé au frère d’Howard, Sam Lanin, que la carrière de Nichols avait vraiment décollé. Après le démantèlement du Royal Palms Orchestra, Nichols a fait partie du Johnny Johnson Orchestra avec lequel il s’était installé à New York en 1923. À New York, Nichols avait rencontré le joueur de trombone Miff Mole, avec qui il avait joué durant une dizaine d’années. Avant de signer un contrat avec les disques Brunswick, Nichols et Mole, qui étaient devenus inséparables, avaient enregistré avec Pathé-Perfect sous le nom de Red Heads. En plus de Mole (qui avait participé à la plupart des enregistrements de Nichols en 1927-28 avant de se lancer dans une carrière de musicien de studio), Nichols avait également collaboré avec de futurs grands noms du jazz comme Glenn Miller, Jack Teagarden, Tommy Dorsey et Will Bradley au trombone, Pee Wee Russell, Benny Goodman et Frank Teschemacher à la clarinette, Bud Freeman, Eddie Miller, Babe Russin et Fud Livingston au saxophone ténor, Frankie Trumbauer au C-melody saxophone, Adrian Rollini au saxophone basse, Charlie Teagarden et Wingy Manone à la trompette, Dudley Fosdick au mellophone, Dick McDonough, Carl Kress et Eddie Condon à la guitare, Lennie Hayton, Joe Sullivan, Rube Bloom et Roy Bargy au piano, Joe Venuti au violon, Joe Tarto au tuba, Artie Bernstein à la contrebasse, Red McKenzie au chant et Gene Krupa, Chauncey Morehouse, Stan King, Dave Tough, Ray Bauduc et Ray McKinley à la batterie. Dans le film biographique ’’The Five Pennies’’, le personnage de Nichols prononçait souvent la réplique “Don’t worry, someday they’ll all be working for me.” Ironiquement, malgré le nombre impressionnant de futurs chefs d’orchestres qui avaient fait partie de son groupe, Nichols n’avait jamais vraiment connu de succès comme leader de ses propres formations à l’époque du swing.
Au début de sa carrière, Nichols avait également enregistré avec les disques Edison (1926), Victor (1927, 1928, 1930, 1931), Bluebird (1934, 1939), Variety (1937) et Okeh (1940). Parmi les nombreux artistes ou groupes avec lesquels Nichols avait enregistré de 1924 à 1926, on remarquait les Bailey’s Lucky Seven, les Charleston Seven, le Goofus Five, les Tennessee Tooters, le Lou Gold, les Melody Sheiks, les California Ramblers, les Lanin’s Red Heads, le Varsity Eight, les Five Birmingham Babies, Billy Wynne, les Little Ramblers, Bill Wirges, les Georgians, les Seven Missing Links, Ross Gorman, les Cotton Pickers, les Hottentots, Cliff Edwards, les Ipana Troubadours, les Walter Davidson’s Louisville Loons, le Original Memphis Five, les Broadway Bellhops, Bob Haring, Arnold Brilhart, Little Pilgrims Orchestra, Frank Signorelli, Jay C. Flippen, Jack Albin, Annette Hanshaw, Don Voorhees, John Clesi’s Areoleans, Evelyn Preer et Lee Morse, et on ne parlait que des formations orientées vers le jazz.
Nichols, qui savait lire la musique, avait facilement obtenu du travail comme musicien de studio. En décembre 1926, Nichols avait commencé à enregistrer avec Mole dans le cadre de différentes formations connues sous le nom de Red Nichols and His Five Pennies. En réalité, le nom du groupe était un peu trompeur, car très peu de ces formations étaient des quintets. Parmi les membres du groupe, on remarquait Jimmy Dorsey à la clarinette et au saxophone alto, Vic Berton (un batteur qui pensait comme un percussionniste et jouait parfois du tympani), Eddie Lang à la guitare et Arthur Schutt au piano.
Nichols a enregistré plus de cent pièces avec les Five Pennies pour les disques Brunswick. Même si la taille du groupe avait évolué avec les années, son nom était demeuré échangé. De 1926 à 1932, Nichols a également enregistré avec les Arkansas Travelers, les California Red Heads, les Louisiana Rhythm Kings, le Wabash Dance Orchestra, les Alabama Red Peppers, les Charleston Chasers, les Red and Miff's Stompers et les Miff Mole and His Little Molers. Nichols avait aussi dirigé des groupes plus importants sur certains enregistrements et dans le cadre des revues ‘’Strike Up The Band’’ et ‘’Girl Crazy.’’
Extrêmement prolifique, Nichols enregistrait parfois une vingtaine de pièces par semaine.
En plus de Nichols au cornet, de Mole et de Jimmy Dorsey au saxophone alto et à la clarinette, le groupe de Nichols avait été notamment composé au cours de la décennie suivante de Benny Goodman et de de Pee Wee Russel à la clarinette, de Glenn Miller et Jack Teagarden au trombone,de Joe Venuti au violon, d’Eddie Lang au banjo et à la guitare et de Gene Krupa à la batterie. Le groupe avait connu un succès inattendu avec la pièce "Ida, Sweet as Apple Cider", qui s’était vendue à plus d’un million de copies. La pièce s’était aussi mérité un disque d’or de la Recording Industry Association of America. La composition de Nichols intitulée "Nervous Charlie Stomp" avait même été enregistrée par l’orchestre de Fletcher Henderson.
En 1927, Nichols avait passé quelques mois dans l’orchestre de Paul Whiteman. Son remplaçant était nul autre que son idole Bix Beiderbecke.
À la fin des années 1920, Nichols a également enregistré avec les Miff Mole’s Molers, Peggy English, Carl Fenton, Sophie Tucker, Art Gillham, Cass Hagan’s Park Central Hotel Orchestra, les Midnight Airedales, Irving Brodsky et les Red Hot Dogs. En plus de jouer du cornet, Nichols était un arrangeur imaginatif qui, un peu comme Jelly Roll Morton, avait le don de combiner des musiciens établis avec des groupes spécialement réunis pour l’occasion. Les arrangements de Nichols étaient si complexes qu’il devait souvent faire appel aux meilleurs musiciens disponibles.
Dans les années 1930, Nichols avait tenté de s’adapter au swing alors en effervescence, mais il avait beaucoup moins enregistré à partir de 1932. Nichols n’avait même pas enregistré du tout en 1933. L’année suivante, Nichols avait dirigé un groupe de onze musiciens appelé His World Famous Pennies. À la même époque, Nichols avait aussi dirigé des orchestres anonymes à la radio. Désormais considéré comme une relique du passé, Nichols avait été progressivement abandonné par ses musiciens qui avaient décidé de lancer leurs propres groupes. Le critique Michael Brooks écrivait:
‘’What went wrong? Part of it was too much, too soon. Much of his vast recorded output was released in Europe, where he was regarded by early jazz critics as the equal, if not the superior, of Louis Armstrong and Bix Beiderbecke. People who make fools of themselves usually find a scapegoat, and when the critics were exposed to the music of Duke Ellington, Benny Carter, Coleman Hawkins and others they turned on Nichols and savaged him, trashing him as unfairly as they had revered him. Nichols' chief fault was an overly stiff, academic approach to jazz trumpet, but he did recognize merit as far as other jazz musicians were concerned and made some wonderful small group recordings.’’
Durant la Crise des années 1930, Nichols avait gagné sa vie en se produisant dans des revues. Pendant un certain temps, Nichols avait aussi dirigé l’orchestre de Bob Hope, avant de s’installer en Californie.
Nichols avait épousé Willa Stutsman, une danseuse de la revue Scandals de George White, avec qui il avait eu une fille. En 1942, la fille du couple avait contracté la poliomyélite après qu’on lui ait diagnostiqué une méningite spinale. Jusqu’en 1943, on avait perdu toute trace de Nichols, qui s’était trouvé un emploi dans les chantiers maritimes afin de pouvoir mieux s’occuper de la santé de sa fille. Après s’être produit au Merry-Go-Round à Dayton, dans l’État de l’Ohio, Nichols avait fait son service militaire dans le cadre de la Seconde Guerre mondiale.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1944, Nichols, qui n’avait rien perdu de son habileté au cornet à l’âge de trente-neuf ans, avait tenté un retour sur scène. Après avoir joué avec le Casa Loma Orchestra durant quelques mois, Nichols avait formé une nouvelle version de son groupe les Five Pennies, cette fois sous la forme d’un sextet qui s’était produit dans de petits clubs de Los Angeles. Le groupe avait joué par la suite dans de plus grandes salles comme le Zebra Room, le Tudor Room de l’Hôtel Palace à San Francisco et le Shearton de Pasadena, en Californie. À la suite du retour en force du Dixieland, Nichols avait aussi participé à des sessions avec Peggy Lee, Julia Lee, Phil Harris et Kay Starr. Il avait également fait des apparitions à la radio avec Bing Crosby.
Très populaires sur la scène locale, les Five Pennies mettaient souvent en vedette des artistes comme Heinie Beau ou Rosy McHargue à la clarinette et Herbie Haymer au saxophone ténor. L’une des pièces les plus populaires du groupe à cette époque était “Battle Hymn Of The Republic” (1949). Même si Nichols jouait parfois des arrangements innovateurs datant des années 1920, la plupart du temps le groupe interprétait une musique inspirée du Dixieland. Les Five Pennies s'étaient éventuellement dotés d'un son plus distinctif après qu’un saxophoniste basse et le joueur de trombone King Jackson se soient joints au groupe en 1949. Dans les années 1950, le groupe avait enregistré une série d’albums pour les disques Capitol, Jump et Audiophile et avait continué de se produire sur scène.
À la fin de sa carrière, Nichols a également joué le rôle d’ambassadeur de bonne volonté pour le Département d’État.
Nichols a participé à de nombreux films au cours de sa carrière. En 1929, Nichols a joué dans un court-métrage de la compagnie Vitaphone qui mettait également en vedette son groupe les Five Pennies ainsi que les musiciens Eddie Condon et Pee Wee Russell. En 1935, Nichols a fait une apparition dans le film ‘’The Parade of the Maestros’’ aux côtés de Ferde Grofe. En 1950, Nichols a participé au tournage du film ‘’Wabash Avenue.’’ L’année suivante, Nichols avait partagé la vedette avec Mickey Rooney et Jeanne Cagney dans le film ‘’Quicksand.’’ La même année, Nichols avait également eu un petit rôle dans le film ‘’Disc Jockey’’ aux côtés de Tommy Dorsey. En 1959, Nichols avait aussi fait une apparition dans le film ‘’The Gene Krupa Story.’’
En octobre 1956, Nichols avait participé à un épisode de l’émission de télévision ‘’This Is Your Life’’, dans lequel il avait été réuni avec ses anciens collaborateurs Miff Mole, Phil Harris et Jimmy Dorsey. Ces derniers avaient d’ailleurs remercié plus tard Nichols de s’être assuré que tous les membres du groupe avaient été payés.
En juin 1965, Nichols avait obtenu un contrat pour se produire avec les Five Pennies au Mint Hotel de Las Vegas. Le 28 juin, quelques jours après avoir participé à son premier concert, Nichols avait éprouvé des douleurs à la poitrine durant son sommeil. Nichols avait appelé la réception pour obtenir du secours, mais il était déjà mort au moment de l’arrivée de l’ambulance. Il était âgé de soixante ans. Le soir-même, le groupe avait rendu hommage à Nichols en se produisant comme prévu, avec un projecteur orienté vers la chaise vide du trompettiste.
À la suite du succès de l'émission ''This is your life'', Nichols avait fait l’objet en 1959 d’une film biographique intitulé ‘’The Five Pennies.’’ Le film, qui reposait sur une vision très romancée de la vie et de la carrière de Nichols, l’avait décrit comme un musicien irresponsable qui était la principale cause de ses propres malheurs. Le film mettait en vedette l’acteur Danny Kaye. Nichols, qui avait joué lui-même ses propres parties de cornet dans le film, avait également fait une apparition comme membre d’un groupe fictif appelé les "Clicquot Club Eskimos". Heureusement, la complicité de Nichols avec Louis Armstrong, qui avait également joué dans le film, avait contribué à contrebalancer les nombreuses erreurs historiques de la production. Par exemple, contrairement à ce que laissait entendre le film, Nichols n’avait jamais été chanteur.
Tentant par la suite de capitaliser sur le succès du film, Nichols avait enregistré d’autres disques pour Columbia. La pièce-titre de son dernier album “The Battle Hymn Of The Republic” (1959) était d’ailleurs tirée de la trame sonore du film. Par la suite, Nichols avait continué de se produire avec les Five Pennies dans la région de Los Angeles.
Le film ‘’The Five Pennies’’ avait décroché quatre nominations au gala des Academy Award. L’épouse de Kaye, Sylvia Fine, avait composé la chanson-thème du film, ainsi que d’autres pièces apparaissant dans la production. La pièce "Poor Butterfly" de Nichols a été reprise dans le film de Woody Allen ‘’Bullets Over Broadway’’, qui a été publié en 1994. On peut également entendre l’enregistrement du standard "(Back Home Again in) Indiana" dans un autre film d'Allen tourné en 1999 et intitulé ‘’Sweet and Lowdown.’’
Red Nichols a été intronisé au sein du Big Band and Jazz Hall of Fame en 1986. Compositeur prolifique, Nichols a écrit ou co-écrit plusieurs pièces, dont "Hurricane" (avec Paul Mertz), You're Breakin' Me Down" (avec Glenn Miller), "Five Pennies", "Sugar" (avec Jack Yellen, Milton Ager et Frank Crum), "Bug-A-Boo", "The Parade of the 'Pennies'", "The King Kong", "Trumpet Sobs", "Get Cannibal", "Junk Man's Blues", "Delta Roll", "Corky", "Bugler's Lament", "Nervous Charlie Stomp" (qui a été enregistrée par Fletcher Henderson), "Last Dollar", "That's No Bargain" et "Blues at Midnight".
Considéré comme un des plus grands cornettistes à avoir émergé dans les années 1920, Nichols avait été longtemps sous-estimé, à la fois en raison de sa personnalité controversée (il préparait parfois ses solos à l’avance) et parce que sa tonalité était peut-être un peu trop influencée par le style de Bix Beiderbecke. En réalité, Nichols avait une tonalité plus cool que celle de Bix ainsi qu’un style beaucoup plus réservé.
Certains musiciens comme Eddie Condon n’avaient pas toujours été très tendres envers le jeu de Nichols. Le fait que les enregistrements de Nichols du début des années 1930 aient été mieux connus en Europe que ceux de ses compatriotes afro-américains n’avait guère contribué à le faire mieux connaître aux États-Unis. Certains des musiciens associés à Condon semblaient aussi avoir porté rancune à Nichols de son succès.
Au cours des dernières années, les disques Jazz Oracle ont publié trois coffrets de CD comprenant la quasi totalité des enregistrements de Nichols comme leader de 1926 à 1932. Même si Nichols avait été bien loin d’être un innovateur de la trempe de Louis Armstrong et de Bix Beiderbecke, il n’en était pas moins un des plus grands musiciens de l’histoire du jazz.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Red Nichols.’’ Wikipedia, 2023. ‘’Red Nichols.’’ All About Jazz, 2023. YANOW, Scott. ‘’Profiles in Jazz: Red Nichols.’’ The Syncopated Times, 1er février 2018.
1 note · View note
lboogie1906 · 3 years ago
Photo
Tumblr media
Victor Dickenson (August 6, 1906 – November 16, 1984) was a jazz trombonist. His career began in the 1920s and continued through musical partnerships with Count Basie, Sidney Bechet, and Earl Hines. He studied organ, then changed to performing trombone with local bands. He made his recording debut as a vocalist with Luis Russell's band. He joined Blanche Calloway's orchestra. He led his groups both on the east and west coast. He was a session man. He appeared on the television program The Sound of Jazz. He recorded as a sideman with Jimmy Rushing, Coleman Hawkins, Pee Wee Russell, Benny Carter, Lester Young, Count Basie, and Sidney Bechet. He recorded The Vic Dickenson Showcase for Vanguard with Ed Hall on clarinet and Ruby Braff on trumpet. Sydney Bechet made him come to France and play record at Brussel exposal. He was a member of "The World's Greatest Jazz Band", the house band at The Roosevelt Grill. He performed at the same venue in a smaller group that featured him alongside trumpeter Bobby Hackett. He is in Art Kane's photograph, A Great Day in Harlem, which includes trombonist Miff Mole. He was a laconic man who often liked to be alone between sets. During his long association with bands at Eddie Condon's, he would retire to a single chair that sat in a small alcove outside the men's room, instead of gathering with fellow musicians in the band room. When men mistook him for the men's room attendant and offered him money, he took it. #africanhistory365 #africanexcellence https://www.instagram.com/p/Cg6q8gOurDptOoNBmTQM9LQ9IEbrcdnlwaWfEk0/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes